Fusion éclectique de snares lofi-rock et de synthés oniriques french touch, le paysage sonore de Matya défie les catégorisations traditionnelles. Le projet à venir de Matya vise à créer des hymnes générationnels pour les rebelles contre-culturels d’aujourd’hui qui vont à l’encontre du rêve américain traditionnel. Son premier single, “Nobody’s Home“, est une invitation à rêver à travers ses propres lunettes roses. Les arrangements subtils et la production soignée donnent à la chanson une atmosphère presque cinématographique, créant un paysage sonore riche et évocateur. En résumé, ce single est une démonstration de la maturité artistique de Matya. L’artiste ne se contente pas de rester dans sa zone de confort, mais explore de nouvelles avenues émotionnelles et sonores. C’est une ode à la vulnérabilité humaine et à la quête de sens dans un monde complexe.
Matya partage son temps entre Los Angeles et Paris, où l’EP a vu le jour aux Catmilk Studios (Paris, France). Elle a travaillé avec des noms comme John Velasquez (Broods, Zella Day, Vacations), Dan Bailey (Father John Misty, Lana Del Rey), Gabriel Cheurfa (Draumr, Dorcas), Pierre Duval (Philippe Zdar, chez Motorbass), et a été masterisée par Mike Marsh (Calvin Harris, Jonas Blue, Ellie Goulding).
Ce single prometteur présage un avenir radieux pour Matya, il est clair que son évolution musicale captivera ses fans. “Nobody’s Home” est un incontournable pour tous les amateurs de musique en quête de découvertes sonores émouvantes et authentiques.