C’est aujourd’hui vers un duo Parisien très intéressant que nous tournons nos micros. Dès que Félix Matschulat et JM Pelatan ont enregistré quelques titres et fait leurs premières apparitions sur scène en tant que duo, ils ont commencé à attirer un public et à être reconnus par la critique.

Une chute en studio a engendré une fracture du bras au chanteur-guitariste Félix Matschulat, mettant en péril son futur artistique. Finalement, l’artiste s’est battu et le duo a pu créer plusieurs albums, le premier chez Roy Music. JM Pelatan (Basse-batterie-Electronique) ayant enregistré, mixé et masterisé ces derniers.

En 2016, ils rencontrent le succès dans le haut de gamme de l’industrie du prêt-à-porter. Ensuite, avec la création d’un EP promotionnel, ils sont notamment choisis comme groupe “découverte” de Cotélac . Celui-ci diffusé à 15 000 exemplaires gratuits dans plus de 110 magasins en France et à l’étranger.

Leurs hymnes rock font le tour du monde et attirent rapidement l’attention des superviseurs musicaux à l’étranger. On retrouve dans des séries télévisées nombre de leurs singles. IL y a Banshee, Night Shift, Veep, Killjoys, Goliath, Dollar, Legacies, Servant et Shameless. Mais aussi dans des films : Misconduct Get the Girl et Baby, Baby, Baby entre autres.

Parlons maintenant du morceau en lui-même, CROSSROAD. Du rock lo-fi au blues électronique, le duo nous entraîne dans un voyage musical à travers le Far West postindustriel.

Du rock lo-fi au blues électronique, No Money Kids nous entraîne dans un voyage musical à travers le Far West post-industriel. Motels à sacs de puces, néons clignotants, souvenirs dans le rétroviseur, le duo s’élance dans la nuit sur une autoroute oubliée vers un horizon de cinémascope. Inspirés tant par The Kills, Beck ou Sparklehorse, que par Junior Kimbrough et Robert Johnson, les Kids’ parcourent la gamme des électro-blues, des titres indie-pop obsédants au rock qui fait trembler les murs, alternant ballades vertigineuses et hymnes de garage, guitares sévères et arrangements électroniques élégants.

No Money Kids à propos de leur dernière sortie, CROSSROAD.

Enfin, leur nouvel album “Factory” symbolise les usines à fumée de l’industrie, cathédrales du monde moderne. Les étincelles des soudeurs dansent sur une musique qui souffle sur le grondement du métal, où hommes et machines fusionnent. On dit que le rock est mort le jour où il a été mis dans un musée. Les No Money Kids veulent le faire renaître à coup d’électrochoc avec “Factory”, leur western post-industriel révolutionnaire.

Retrouvez maintenant les No Money Kids avec leur dernier titre, CROSSROAD.