Aujourd’hui nous partons à la rencontre de l’univers de Elias Fabian Durac alias Fabianossa, originaire de Finlande. Combinant des guitares modulées avec des rythmes décontractants et des paroles joyeuses, il veut que vous vous échappiez.
Elias a toujours eu un goût musical éclectique. Enfant, c’était un violoniste qui regardait MTV et fan de System of a Down, Outkast et Disco Ensemble. C’est le frère aîné d’Elias qui l’a inspiré à faire de la musique avec son ordinateur portable. Les frères et sœurs ont commencé ensemble leur projet EDM. Puis Elias décida d’arrêter quelque temps n’ayant plus d’inspiration et de passion pour la musique.
Deux ans plus tard, Elias s’initie aux airs de Mac DeMarco. Son style froid et minimal a inspiré Elias à apprendre la guitare et à commencer à écrire des chansons. Réuni avec sa passion d’enfance, il entame rapidement son parcours en tant que Fabianossa.
“4 am” était la première sortie sous ce pseudonyme, soutenue par le célèbre label français Kitsune Musique (Bloc Party, Parcels). La première sortie a été saluée par la critique, avec [RADIO STATION] : «La musique de Fabianossa est intemporelle et vous fait commencer inconsciemment à taper du pied».
La piste a recueilli plus de 25 000 streams en seulement quelques mois.
Dans la continuité de la réussite de son premier single Fabianossa en sort un deuxième Trouble is All I Have. Si vous voulez vous déhancher au rythme de la Chillwave et du Lo-fi Pop, ce second single répondra entièrement à vos attentes. La voix de Fabianossa douce et délicate se combine parfaitement avec l’air de guitare complètement décontracté et le rythme de la musique. Ce morceau a été impeccablement travailler et ceci se ressent dès la première écoute.
Je veux juste que les gens entendent ma musique à travers le monde et ce serait mon rêve de pouvoir collaborer avec des artistes talentueux. Je suppose qu’en tant qu’artiste, j’aimerais être considéré comme le type qui joue ces airs chauds, doux et rêveurs mélangés avec un peu de sel et de poivre !
Fabianossa à propos de “Trouble is All I Have”