Comme pour Woodstower, Riptide a privilégié un festivalier pour rendre compte de son aventure au Dream Nation Festival.
C’est donc Mario, armé de sa bonne humeur et de sa motivation qui est parti à la conquête du Dream Nation.
On vous laisse vivre ou revivre avec lui ce dimanche à la saveur particulière :
Dimanche 23 septembre, petit tour à la techno parade l’après-midi pour se mettre en condition, un apéritif plus tard sur le chemin et nous y voilà !
D’emblée, le ton du festival est donné, à peine sorti du métro, nous découvrons une place noire de monde.
Arrivés à 21h, nous prenons le chemin des docks de Paris, quelques minutes de battements plus tard, nous attendons notre entrée.
1er obstacle et pas des moindres : LE VESTIAIRE.
Effectivement, depuis l’entrée, on apercevait déjà la queue qui s’étirait sur une centaine de mètres.
Nous ne nous sommes pas refroidi et décidons d’oublier ce fâcheux contretemps, en route pour la scène la plus proche !
Commençons par la Bass Music Stage, une immense salle, déjà bondé. Les festivaliers survoltés bougent au rythme de basses puissantes produites par un système son imposant de part et d’autre de la scène.
Séduits par cette ambiance mais très vite éreintés par la chaleur étouffante qui se dégageait de cette salle, nous sommes partis à la découverte des autres scènes.
Les Scènes :
TRANCE:
Arrivé devant la scène Trance, la salle s’étant à perte de vue, sans aucun doute le lieu le plus imposant du festival.
Le Dj, surplombant la totalité du hangar à plusieurs mètres du sol, donnait une impression de lévitation.
La scénographie lumineuse ainsi que les décors ont ajouté une atmosphère unique et magique à ce lieu plus que chaleureux.
HARD:
Avant d’entré dans la salle dédiée au Hard, on pouvait entendre les basses étouffées juste avant de pénétrer dans un lieu ou chacun retenait son souffle.
Une salle assez grande, un décor en accord avec le son qui s’y propager, des basses bien agressives et une musique bien violente.
Pour les personnes ayant besoin d’être réveillées c’était le lieu parfait pour se ressourcer.
BASS MUSIC:
Comme dis précédemment, c’est la première scène que nous avons découvert, la musique et le décor étaient agréables mais la chaleur achevait vite toute envie de s’y attarder.
TECHNO:
Etant un grand amateur de Techno, nous sommes donc partis en quête de cette scène pour se délecter de douces notes.
Petite scène, intimiste, décor minimaliste mais la présence d’un son de qualité nous a convaincus.
Les points positifs et négatifs :
On a adoré l’espace pour recharger son téléphone, pratique pour ceux qui aiment prendre des photos, vidéos et garder des moments uniques de leur soirée.
Les décors nous ont permis de pouvoir s’imprégner au maximum de l’atmosphère produite par les artistes.
D’ailleurs, on retient essentiellement la magie des décors de la scène Trance et Hard.
Le public, en feu et arrivé tôt a répondu présent et permis à cette soirée de prendre une tournure splendide.
Ce qui ne nous a pas convaincus, le système de vestiaire obligatoire qui a pris l’eau, l’organisation bancale a causé des sueurs froides aux bénévoles et plus particulièrement pour la récupération des sacs.
L’ambiance :
Pour finir sur une note positive, retraçons tous les points qui nous ont permis de garder un bon souvenir de cette soirée.
- Beaucoup de couleur sur les scènes.
- Un éclairage recherché s’accordant à chaque style de son.
- Les festivaliers venus en masse.
- Quatre scènes espacées par de longues rues permettant de faire des pauses loin du son.
- 8 Food Trucks possédant chacun leur propre style de nourriture.
- Le stand pour recharger son portable.
- Le manège de fête foraine installée sur le site pour pouvoir changer de sensation.
Je tiens à remercier le mag pour nous avoir permis de profiter de cet événement ainsi que d’interviewer des artistes pendant cette soirée que l’on n’est pas prêt d’oublier.
D’ailleurs, si les quelques accros au niveau de l’organisation ne vous effraies pas, on vous conseille de vous munir de places l’année prochaine afin de disposer d’une variété de sons uniques.